Femmes- oiseaux de Jéromine Pasteur

Un auteur , un peu particulier qui raconte le récit de ses aventures, mais surtout nous livre ses pensées personnelles et nous apprend à affronter nos propres démons.

Eloïse, photographe va rejoindre le Pérou, afin de vivre avec  des indiens d’ Amazonie. Elle va partager leur vie au quotidien.
La région est envahie de trafiquants, elle se joint aux indiens pour assurer leur survie. La violence est quotidienne.

 » Comme élément assurant la survie de l’ensemble, Eloïse ne valait rien. Mais comme curiosité, comme saltimbanque, elle était de premier ordre. Les communautés de la région avaient admis qu’Éloïse ne représentait aucun danger. On la laissa remplir tranquillement son cahier d’écolier et prendre ses photos. Et puis Kayenga aimait Eloïse et tous ceux de la forêt aimait Kayenga. Quand à ceux qui ne le connaissaient pas suffisamment pour l’aimer, ils en avaient assez entendu parler pour le craindre. Eloïse était en sécurité. »

Elle va peu à peu être apprivoisée par ces indiens.
Avec eux, elle va fuir de l’autre côté de la montagne. Les femmes indiennes vont l’initier à leur vie.
Eloïse fut blessée par un amour perdu, et elle deviendra «  Femme-Oiseau », celle qui est capable de lire le sens de la vie et d’en faire retomber tous les bienfaits sur ceux qui la côtoient.

 » J’ai couru le monde pour calmer ma faim de savoir. Pour découvrir où se cachait la Terre Promise. Mais elle est en tous lieux, en permanence à l’intérieur de moi. Je viens enfin de le comprendre ! »

Un roman initiatique sur les valeurs de la vie, qui sème et ouvre en nous un chemin de liberté.

Femmes-Oiseaux : Jéromine Pasteur-

Belfond 2012- ISBN : 978714450517

Ce livre existe en format numérique

Lu en 2013

Pour en savoir plus sur l’auteur, le site semble figé..

9 commentaires sur “Femmes- oiseaux de Jéromine Pasteur

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  1. Bonjour Claude,
    J’ai lu un de ses livres, lorsqu’elle était revenue d’Amazonie (bon, elle en est revenue certainement de nombreuses fois). Elle y racontait sa vie parmi ce peuple des forêts.
    Ce qui me revient en premier en tête, c’est qu’elle mangeait des vers blancs, mais que les autres femmes lui disaient qu’il ne fallait pas trop en manger comme nous disons à nos enfants de ne pas trop manger de gâteaux… Je pense à elle à chaque fois que je trouve des vers blancs d’hannetons dans la terre à la campagne……
    (Mémoire d’une ânesse !)
    Bonne journée
    Sylvie

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