Otchum, chef de meute de Nicolas Vanier

511aTb+wlUL._SX354_BO1,204,203,200_« Lorsque Otchum ouvre pour la première fois ses yeux de petit chiot, c’est le lac Baïkal qu’il voit. »

Ce livre décrit la vie de ce chien, pas comme les autres, puisqu’il fut chef de meute.

Nicolas Vasnier nous embarque dans un voyage avec ce chien, qui deviendra l’un des plus grands chiens de traîneau que le  grand Nord ait vu courir .

Ils ont traversé toute la Sibérie, la Laponie et la péninsule de Kola.

Otchum fut le seul chien à participer à la vie de famille. Il fut le copain de jeux de la fille de Nicolas Vasnier. Ils ont voyagé durant un an sur la piste de Jack London dans les Montagnes Rocheuses du Grand Nord canadien jusqu’en Alaska.

Un vrai tour du monde dans les contrées froides des solitudes glacées.

Otchum était le candidat idéal pour affronter la course  de traîneau à chiens la plus difficile du monde, mais une querelle entre chiens ne lui permet pas de participer. Sa vie s’arrête là.

Le livre raconte cette merveilleuse aventure, pleine de tendresse, d’amour, de volonté entre un homme et son chien de tête.

Un peu de texte, et de superbes photos de ces contrées lointaines glacées jalonnent les pages de ce livre.

 

 

 

6 commentaires sur “Otchum, chef de meute de Nicolas Vanier

Ajouter un commentaire

  1. Je crois avoir vu un de ses films où on voyait Otchoum. C’était étonnant le rapport qu’il avait avec ce chien, un respect mutuel sans grandes marques d’affection pour garder son statut de chef de meute. J’adore les livres comme celui-ci et les images sont superbes. Merci beaucoup Claude
    Nath

    Aimé par 1 personne

  2. Otchum… le choix du nom de ce chien est à l’image de son ami et maître Nicolas Vannier. J’admire beaucoup l’homme, l’ami des chiens, le père, le professionnel… Un être multi-dimensionnel incroyable ! 🙂
    Son livre doit être passionnant, certainement. Que peux-tu nous en dire ?
    Cat

    Aimé par 1 personne

    1. Il est passionnant, des anecdotes viennent égayer le livre. La vie est rude dans ces contrées lointaines.
      La complicité de l’homme et de l’animal est présente jusqu’au dernier jour d’Otchum.
      Un livre à regarder, à picorer suivant nos humeurs du moment, les photos nous entraînent dans
      ces pays où le thermomètre avoisine les -30°C et bien plus.

      J’aime

Laisser un commentaire

Propulsé par WordPress.com.

Retour en haut ↑