
Quand Anaïs de chez Librinova m’a proposé ce livre. Je n’ai pas hésité, j’ai accepté tout de suite avec plaisir. Je n’ai pas pris le temps de lire le synopsis. Dès réception du livre numérique, j’ai commencé ma lecture. Tout de suite j’ai été conquise.
Il est question de violon, de musique. L’auteur semble bien connaître ce domaine. Il parsème son roman de morceaux de musique.
Deux histoires vont se côtoyer et se réunir par la suite. D’un côté, nous avons Alicia, jeune violoniste virtuose qui se prépare pour un récital à New York. Mais avant de partir, elle est attendue en Suisse, où on va lui confier un violon particulier, un Stradivarius de 1721, le « Dei Conti ».
De l’autre côté, nous suivons un jeune homme, Tim qui recherche activement ce violon , ce Stradivarius, ayant appartenu à son grand-père. Il s’emballe quand il apprend la réapparition de ce violon-ci. Il le veut, le retrouver, il fera tout pour cela.
L’histoire nous entraînera dans un univers particulier, au temps de la guerre où les peuples s’affrontent, mais aussi où deux êtres partagent malgré leur différence l’amour de la musique.
Un incident va se produire à la fin du récital. A sa sortie, un homme attendait Alicia, il lui déroba le violon en neutralisant la personne qui l’accompagnait.
Tout est parfaitement » orchestré ». Le violon sera -t-il retrouvé ? aura t-il sa place dans sa famille d’origine ? ou ira t-il ailleurs ? Vous saurez la fin de l’histoire en lisant ce livre.
J’ai aimé les notes de l’auteur sur le Stradivarius, sur sa fabrication.
Je ne peux finir qu’en musique :
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