Challenge British Mysteries 2023

Voilà le mois de Mars arrive à sa fin. J’ai fini mon RAT mini Challenge British Mysteries avec comme je l’avais annoncé trois lectures

Mes trois lectures sont :

Les cinq petits cochons d’ Agatha Christie

Jane Eyre de Charlotte Bronté

Sunday Melvil, détective privée de Sa Majesté de Anne Kalicky Roman jeunesse à partir de huit ans.

Il me reste à remercier les organisatrices de ce challenge, Lou et Hilde Je continuerai au cours de l’année de lire des auteurs anglais.

Et vous ? Avez-vous réussi à tenir vos engagements sur ce challenge ?

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Challenge NetGalley 2022

Le challenge NetGalley est de retour, du 5 mai au 5 juin. J’ai décidé d’y participer.

Tout participant.e aura 15 services de presse numériques et audio à découvrir en accès direct et la chance de pouvoir gagner une des deux récompenses prévues.

Il suffit de chroniquer un seul livre pour valider sa participation. J’aime beaucoup les livres audio, je peux les écouter dans la journée et le soir je lis sur ma liseuse.

Tous les participants ayant chroniqué au moins un livre durant le challenge recevront un badge virtuel. Et ceux ayant lu au moins un titre de la sélection, participé à un mini-challenge et maintenu un ratio de feedback de 80% jusqu’au 5 juin, se qualifieront automatiquement à un concours pour remporter une tablette.

Quelle est la proposition de NetGalley ?

Après avoir regardé les titres, je vais commencer par un audio, un roman policier. et un roman graphique

Et vous ? Connaissez-vous ce challenge NetGalley ?

Vous pouvez vous inscrire à tout moment et participer .

la malédiction du Stradivarius de Philippe Morane

Quand Anaïs de chez Librinova m’a proposé ce livre. Je n’ai pas hésité, j’ai accepté tout de suite avec plaisir. Je n’ai pas pris le temps de lire le synopsis. Dès réception du livre numérique, j’ai commencé ma lecture. Tout de suite j’ai été conquise.

Il est question de violon, de musique. L’auteur semble bien connaître ce domaine. Il parsème son roman de morceaux de musique.

Deux histoires vont se côtoyer et se réunir par la suite. D’un côté, nous avons Alicia, jeune violoniste virtuose qui se prépare pour un récital à New York. Mais avant de partir, elle est attendue en Suisse, où on va lui confier un violon particulier, un Stradivarius de 1721, le « Dei Conti ».

De l’autre côté, nous suivons un jeune homme, Tim qui recherche activement ce violon , ce Stradivarius, ayant appartenu à son grand-père. Il s’emballe quand il apprend la réapparition de ce violon-ci. Il le veut, le retrouver, il fera tout pour cela.

L’histoire nous entraînera dans un univers particulier, au temps de la guerre où les peuples s’affrontent, mais aussi où deux êtres partagent malgré leur différence l’amour de la musique.

Un incident va se produire à la fin du récital. A sa sortie, un homme attendait Alicia, il lui déroba le violon en neutralisant la personne qui l’accompagnait.

Tout est parfaitement  » orchestré ». Le violon sera -t-il retrouvé ? aura t-il sa place dans sa famille d’origine ? ou ira t-il ailleurs ? Vous saurez la fin de l’histoire en lisant ce livre.

J’ai aimé les notes de l’auteur sur le Stradivarius, sur sa fabrication.

Je ne peux finir qu’en musique :

Albanie, Fugue pour violon seul de Tedi Papavrami

Ce livre je l’ai lu, il y a quelques années. J’avais apprécié cette lecture. Tedi Papavrami nous raconte son histoire, mais en même temps celle de son pays, l’Albanie. Je n’avais pas écrit de critique de ce livre, mais je me rappelle ceci :

Son père , professeur de violon au conservatoire détecte que son fils est doué pour la musique. Il va le prendre en main d’une manière sévère.

Tedi Papavrami nous raconte comment fut sa vie de petit prodige, ses réflexions, son travail et aussi sa paresse. Son récit s’arrête à 16 ans.  Il nous fait écouter, par l’intermédiaire d’un flash code numérique à la fin de quelques chapitres, ses solos préférés joués par lui.

Pour compléter mes souvenirs, laissons l’auteur nous parler de son livre.

Ce livre finit mon mois de l’Europe de l’Est chez Eva, Patrice et Goran.

Sur les chemins noirs de Sylvain Tesson

Ce n’est pas le premier livre de cet auteur que je lis, celui-ci nous entraîne en France et non pas à l’étranger , comme dans   » Bérézina ou dans les forêts de Sibérie ». L’auteur se « ressource » et réapprend à marcher.

Sylvain Tesson, le baroudeur, le spécialiste de l’escalade a chuté  d’une hauteur de  huit mètres en août 2014. Miraculé, il s’en sort, mais très amoché, physiquement et moralement » Je regretterais longtemps cette chute parce que je disposais jusqu’alors d’une machine physique qui m’autorisait à vivre en surchauffe. » Il décide alors de prendre sa rééducation en main, et de pratiquer la marche à pied. « Quatre mois plus tard, j’étais dehors, bancal, le corps en peine, avec le sang d’un autre dans les veines,le crâne enfoncé, le ventre paralysé, les poumons cicatrisés, la colonne clouée de vis et le visage difforme. La vie allait swinguer »

Il se fixe un trajet, partir du Mercantour jusqu’à la pointe la plus septentrionale du Cotentin. Il parcourt la France du 24 août 2015 au 8 novembre 2015. Il  emprunte des chemins marqués de petits traits noirs sur les cartes IGN, des « chemins noirs » qui « dessinaient le souvenir de la France Piétonne, le réseau d’un pays anciennement paysan ». . Tesson raconte la flore d’une région à l’autre, les changements géologiques. Le voyage à pied est une bonne leçon de géographie.

Ces chemins noirs sont porteurs d’interrogations, de réflexions, de pensées sur le monde actuel. Ce voyage est un voyage intérieur . Sur ces chemins il fait de belles rencontres, de gens simples . Il chemine aussi avec des amis.

Si vous aimez découvrir la France autrement et réfléchir aux sujets évoqués par Sylvain Tesson, je vous recommande ce livre.

Sur les chemins noirs – Sylvain Tesson,  Gallimard, 146 pages.

Je l’ai lu en format numérique.