Mois Anglais # 3 , Le lundi c’est poésie !

Moins connue que son œuvre dramaturgique, l’œuvre poétique de William Shakespeare recèle des trésors méconnus du grand public. Comme le « sonnet 116 » mis à l’honneur dans le roman classique de Jane Austen « Sense and Sensibility ».

Sonnet 116

Let me not to the marriage of true minds
Admit impediments. Love is not love
Which alters when it alteration finds,
Or bends with the remover to remove.
O no! it is an ever-fixed mark
That looks on tempests and is never shaken;
It is the star to every wand’ring bark,
Whose worth’s unknown, although his height be taken.
Love’s not Time’s fool, though rosy lips and cheeks
Within his bending sickle’s compass come;
Love alters not with his brief hours and weeks,
But bears it out even to the edge of doom.
If this be error and upon me prov’d,
I never writ, nor no man ever lov’d.

William Shakespeare

William Shakespeare est un dramaturge, poète et acteur anglais baptisé le 26 avril 1564 à Stratford-upon-Avon et mort le 23 avril 1616 dans la même ville. Surnommé « le Barde d’Avon », « le Barde immortel » ou simplement « le Barde », il est considéré comme l’un des plus grands poètes et dramaturges de langue anglaise. Son œuvre, traduite dans de nombreuses langues, se compose de 39 pièces, 154 sonnets et quelques poèmes supplémentaires, dont certains ne lui sont pas attribués de manière certaine.

Avec cette poésie, je participe au Mois Anglais#3

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Mois Anglais 2023 # 2

Evelyn De Morgan est l’une des rares artistes anglaises de son temps à avoir connu un grand succès. Les femmes étaient alors très sous-représentées dans les arts. Elle appartenait au groupe préraphaélite. Ce groupe d’artistes s’est formé en Angleterre au milieu du XIXe siècle. Avec leur travail, le groupe a créé son propre style, le préraphaélisme. Ce style s’inspire de l’art italien de la fin du Moyen Âge.

Les représentations historiques ont souvent fait l’objet de travaux préraphaélites. Cependant, ces représentations ne sont pas au service de l’art, mais visent plutôt à alimenter la réflexion sur les changements sociaux. Les œuvres de De Morgan semblent être pleines d’amour pour le détail et un peu ludiques. Elle a souvent représenté des femmes dans des scènes mythologiques et spirituelles. Le corps féminin a fait l’objet d’une attention particulière dans presque toutes ses œuvres.

Le prisonnier – 1907/1908                                                       Hélène de Troie – 1898

Summer shower

Flora – 1894      Étoile du soir sur la mer

Elle naquit au sein d’une famille de la classe moyenne supérieure le 30 aout 1855. Son père, Percival Pickering, était greffier de Pontefract ; sa mère, Anna Maria Wilhelmina Spencer Stanhope, était la sœur de l’artiste John Roddam Spencer Stanhope et descendait de Thomas Coke, comte de Leicester.

Evelyn commença à prendre des cours de dessin à l’âge de 15 ans. Elle persuada ses parents de l’inscrire dans une école : elle commença à la Slade School of Art en 1873.

Son oncle John Roddam Spencer Stanhope eut beaucoup d’influence sur elle. Elle allait lui rendre visite à Florence très souvent. Ces visites l’amenèrent à s’intéresser à des artistes de la Renaissance comme Botticelli.

Elle épousa le céramiste William De Morgan en 1887. Ils vécurent à Londres jusqu’à la mort de William en 1917. Elle mourut deux ans plus tard. Elle est enterrée au Brookwood Cemetery, près de Woking, dans le Surrey. (Wikipédia)

                                                                        

Ce billet est publié dans le cadre du Mois Anglais # 1 et du ¨Printemps des Artistesproposé par Marie-Anne du blog  » La Bouche à Oreilles d’avril à juin 2023

Mois Anglais # 1

Le 1 juin est le lancement du Mois Anglais proposé par Lou et Titine.

Premier jour : A vos PAL

Mon Programme : des romans policiers, un en format papier un audio – livre et un audio jeunesse , d’autres livres seront ajoutés suivant ma disponibilité.

Artiste ; Evelyn de Morgan

Des recettes de cuisine à découvrir lors du Dimanche Gourmand

Des poésies le lundi

Des films

Mois Anglais #1 – Retrouvez les autres participantes sur les blogs de MyLouBook et Plaisirs à cultiver

Mois Anglais 2023 , 12e édition !

Je participe de nouveau au Mois Anglais , c’est l’occasion de découvrir des auteurs, de partager mes lectures, des films, des séries, des récits de voyage, des découvertes d’artistes, ou encore des plats anglais… bref, tout ce qui a un rapport direct avec l’Angleterre.

Cela me permet de sortir de ma zone de confort, de diversifier mes lectures et de m’intéresser plus à ce cher pays voisin.

Un programme a été conçu par les organisatrices Lou et Titine , mais cette année , cela me sera difficile de le suivre.

Je participerai à ma façon. Pour le moment est prévu un billet sur une artiste anglaise, un polar d’une auteur anglaise contemporaine, des poésies , des recettes de cuisine . Je vous dévoilerai mon programme le 1 juin !!

Vous avez envie de vous joindre à nous :

Vous pourrez participer :

– Sur les blogs où est né le challenge , My lou Book et Plaisirs à cultiver

– Sur le groupe Facebook du Mois anglais (pour papoter, partager des idées et vos chroniques)

– Sur Instagram, avec le compte @lemoisanglaisofficiel géré par les organisatrices .

Etes vous un.e. habituée de ce Mois Anglais ou vous laisserez vous tenter par ce Mois Anglais ?

Bon MOIS ANGLAIS à tous !

Merci d’avance pour vos réponses !

Le Mois Anglais juin 2022, bilan

Album Enfant

Elmer

Art

Morning de P.Caulfield

Audio-livre

Mythos de Stephen Fry

Les dimanches gourmands

c

An Apple crumble cake

Petits pois à la menthe

Summer pudding

Carré de porc – abricots secs et pruneaux

Musique

The Beatles

Adèle – Deep Purple

Poésie

John Keats

Williams Shakespeare

Helen Dunmore

Roman

Un amant

L’hôtel hanté

e

Le mois anglais est terminé ! A l’année prochaine !

Belles lectures estivales à tous !

Mois Anglais 2022, l’hôtel hanté de Williams Wilkie Collins

Fiancée humiliée, veuve manipulatrice et soumise évoluant dans une famille en apparence respectueuse des usages de la haute société victorienne… Qui est vraiment la comtesse Narona ? Une intrigante prête à tout pour toucher une prime d’assurance sur la vie de son époux, ou bien la victime de craintes superstitieuses sur laquelle le destin semble s’acharner ?

Je ne suis pas une adepte du roman fantastique, mais j’ai aimé le style de William Wilkie Collins/ Le roman débute par la visite d’une femme au cabinet du médecin Wybrow.

Qui est donc cette étrangère ? Le suspens commence, des personnages énigmatiques vont se succéder, le tout dans une ambiance victorienne.

La mystérieuse comtesse Narona, qui se situe quelque part entre l’aventurière, la veuve noire et la mante religieuse, aimante l’attention du lecteur.

Les personnages ont des apparences trompeuses, ils cachent tous des secrets . on évoque quelques éléments de leur passé qui nous permettent de comprendre les liens qu’ils entretiennent entre eux. Et grâce à ces nombreux détails, quand l’auteur entre dans le vif du sujet, on ne s’y attend pas du tout : la surprise est réellement totale car on avait presque oublié qu’il s’agissait d’un roman fantastique.

Une pièce de théâtre écrite par un des personnages révèle l’intrigue. Tout ceci a lieu à Venise. Le dénouement est surprenant.

Ce roman se lit bien.

William Wilkie Collins – L’Aube (15/06/2006) – 277 pages – EAN : 9782752602596


Mois Anglais 2022, Rendez-vous avec le mal de Julia Chapman

Quand Mme Shepherd vient voir Samson O’Brien à l’Agence de Recherche des Vallons, convaincue que quelqu’un essaie de la tuer, le détective privé pense avoir affaire à une vieille dame un peu sénile. Pourtant, après une série de curieux incidents à la maison de retraite de Fellside Court, il se demande s’il n’aurait pas dû prendre la chose un peu plus au sérieux… Alors que Noël approche, Samson se lance dans une enquête qui l’oblige à renouer avec les habitants de Bruncliffe, ceux-là mêmes qu’il a fuis une dizaine d’années auparavant et qui le traitent à présent comme un paria. Et qui mieux que la tempétueuse Delilah Metcalfe, propriétaire de l’Agence de Rencontre des Vallons, peut l’aider à regagner leur confiance ?

Après avoir lu le livre d’ Emilie Bronté, j’ai cherché à la médiathèque ce que je pourrais trouver, et mes yeux sont tombés sur ce livre.

Alice Shepherd se rend dans une agence de détective car elle est persuadée qu’il se passe de drôles de choses dans sa maison de retraite. Elle est persuadée qu’on veut l’assassiner…des objets disparaissent et reviennent comme par enchantement. Son discours est parfois incohérent. Mais Samson O’Brien n’y croit pas. Sansom O’Brien, qui dirige l’ Agence de Recherches des Vallons située à côté de l’ Agence de Rencontres des Vallons, dirigée par Delilah Metcalfe, va être sollicité par une charmante vieille dame. Madame Shepherd n’a plus toute sa tête

Il va quand même se renseigner, son père réside aussi dans ce lieu. Peu de temps après Madame Shepherd rencontre des problèmes cardiaques, elle succombe. Aucune autopsie n’est réalisée. Puis d’autres décès suivent …

D’autre part, un bélier disparaît, son propriétaire vient demander à Samson de s’en occuper.. Le métier de détective n’est pas de tout repos, entre la recherche de Ralph , le bélier reproducteur et les aventures de la maison de retraite où les rumeurs vont bon train, il n’y a pas de place pour l’ennui. Évidemment, Delilah ne sera pas de trop pour lui donner un coup de main…

L’enquête est bien menée, on trouve dans ce roman l’humour  » British  » de Julia Chapman. Certaines scènes sont drôles. L’auteur nous invite à la suivre dans ses écrits, qui peuvent nous détourner du véritable auteur des faits.

Ce fut un moment de lecture agréable, c’est un polar tout simple. L’étude des personnages est intéressante.

Rendez-vous avec le mal – Julia Chapman – Éditions de La Loupe – 340 pages – ISBN : 9782848689784

Le Mois Anglais, Wild strawberries de Helen Dunmore

Wild strawberries

What I get I bring home to you:
a dark handful, sweet-edged,
dissolving in one mouthful.

I bother to bring them for you
though they’re so quickly over,
pulpless, sliding to juice

a grainy rub on the tongue 
and the taste’s gone. If you remember
we were in the woods at wild strawberry time

and I was making a basket of dockleaves
to hold what you’d picked, 
but the cold leaves unplaited themselves

and slid apart, and again unplaited themselves
until I gave up and ate wil strawberries
out of your hands for sweetness.

I lipped at your palm –
the little salt edge there,
the tang of money you’d handled.

As we stayed in the wood, hidden,
we heard the sound system below us
calling the winners at Chepstow,
faint as the breeze turned.

The sun came out on us, the shade blotches
went hazel : we heard names
bubble like stock-doves over the woods

as jockeys in stained silks gentled
those sweat-dark, shuddering horses
down to the walk

from Out of the Blue, New & Selected Poems (Bloodaxe Books, 2001), © Helen Dunmore 2001

Helen Dunmore, née le 12 décembre 1952 à Beverley (Royaume-Uni) et morte le 5 juin 2017 à Bristol (Royaume-Uni), est une écrivaine britannique.


Le Mois Anglais 2022, Gourmandises

Les dimanches seront consacrés à la cuisine en se mettant aux fourneaux ou en parlant de livres, films ou séries en rapport avec la cuisine, pour faire écho aux beaux challenges des Gourmandises de Syl reprises maintenant par Isabelle (cuisine)

Une recette toujours extraite du livre de cuisine : Simply British

Carré de porc aux abricots et aux pruneaux :

Pour 6 personnes ;

1,5 kg de rôti de porc désossé – 150 g d’abricots secs – 150 g de pruneaux dénoyautés – 1 gousse d’ail, du thym séché – 100g de beurre ramolli – 30cl de cidre – sel- poivre moulu.

Préchauffez le four à 180 ° ( th 6)

Pratiquez un trou au milieu du rôti et y placer les fruits secs en alternant les abricots et les pruneaux. Faites des petites incisions sur le dessus du rôti et y placer l’ail émincé. Frottez le rôti avec du sel, du poivre, du thym, et de beurre. Mettre la viande dans un plat et arrosez de cidre.

Enfournez pendant une heure trente en arrosant souvent avec le jus. Quand la viande est cuite, sortez la du four et laissez la 10 minutes sous du papier d’aluminium . Ensuite découpez -là en tranche et servez la .

Si vous êtes plus nombreux, vous pouvez faire cuire votre viande autrement. Les photos que je présente, sont personnelles, et ont été prises lors d’un repas de jumelage en Angleterre.

c’était très bon, c’était un cochon de lait, cuit d’une manière autre que nos barbecues français. La braise est au-dessus.

Bon dimanche !!!

Mois Anglais, Musique

Profitant que la Fée Électricité soit revenue , je vais publier mon billet « Musique  » pour cette quarantième année de la fête de la musique.

Elle sera anglaise dans le cadre de ce mois de Juin.