Alice au Pays des Merveilles de Lewis Caroll #3

En consultant le blog d’ Isabelle, une ribambelle d’histoires, j’ai vu hier qu’elle parlait de ce livre, mais d’une version beaucoup plus récente.

J’ai cherché et j’ai trouvé mon album, édité en 1959.

Avec cet album, elle participe à un challenge, 2023 sera classique, alors je me suis dit pourquoi pas ? J’ai déjà des lectures qui correspondent aux critères demandés soit être publiés avant 1970.

Alice se repose sur un talus lorsqu’elle voit passer un lapin blanc vêtu d’un gilet, visiblement pressé. Elle décide de le suivre et, sans hésitation, s’engouffre à sa suite dans un terrier.

Elle chute longtemps dans un puits mais atterrit sans mal dans une pièce sombre, et tente de suivre le lapin qui disparaît. Elle cherche alors à accéder à un joli jardin qu’elle a aperçu. À plusieurs reprises, elle change de taille grâce à une potion, à un gâteau ou encore à un éventail.

Elle se met à pleurer quand elle rapetisse et manque de se noyer dans une mare formée de ses propres larmes. Elle y rencontre plusieurs animaux et aperçoit de nouveau le Lapin Blanc qu’elle suit jusque dans sa maison, mais s’y retrouve coincée. Aidé de ses amis, le Lapin Blanc fait sortir Alice qui rapetisse une nouvelle fois et s’enfuit alors dans la forêt.

Là, elle rencontre plusieurs personnages à l’allure peu commune : une chenille qui fume un narguilé ou encore une Duchesse dont le chat sourit tout le temps. Avant de disparaître mystérieusement, l’animal lui révèle que ce pays est peuplé de fous. Alice s’en rend vite compte, notamment lorsqu’elle prend le thé avec des personnages excentriques. Abasourdie par cette étrange expérience, elle quitte ses hôtes puis pénètre enfin dans le joli jardin.

Cet endroit agréable appartient au Roi et à la Reine de Cœur qui terrorisent l’ensemble de la cour constituée de cartes à jouer. Ils invitent Alice à une partie de croquet insolite.

Il se passe bien des choses à la réception de la reine.

Alice s’éveille pour réaliser finalement qu’il ne s’agissait que d’un rêve .

La morale de ce conte ne serait-elle pas de savoir conserver une partie de son âme d’enfant, même en grandissant et de trouver du merveilleux même dans son quotidien.

Alice au pays des merveilles – Lewis Caroll – illustrations Maraja – Editions Fabbri – Milano – 1959 – 56 pages – Collection : Les Grands livres merveilleux

Ce livre est ma troisième participation de l’année au challenge de Blandine et Nathalie « 2023 sera classique »

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Challenge British Mysteries 2023

Voilà le mois de Mars arrive à sa fin. J’ai fini mon RAT mini Challenge British Mysteries avec comme je l’avais annoncé trois lectures

Mes trois lectures sont :

Les cinq petits cochons d’ Agatha Christie

Jane Eyre de Charlotte Bronté

Sunday Melvil, détective privée de Sa Majesté de Anne Kalicky Roman jeunesse à partir de huit ans.

Il me reste à remercier les organisatrices de ce challenge, Lou et Hilde Je continuerai au cours de l’année de lire des auteurs anglais.

Et vous ? Avez-vous réussi à tenir vos engagements sur ce challenge ?

Le Lundi, c’est poésie !

Je souhaitais proposer une poésie sur le printemps écrite par un poète de l’Est.

Mes recherches furent vaines.

Vous trouverez une poésie de Attila József, poète Hongrois.

Plaine Hongroise


Grande plaine Hongroise – le problème : les collines ;
Temple en épi ;

Sol de lait caillé profond, mais 
Volent des pierres rectangulaires.

Peuple hongrois – drapeau en chiffon ;

Un bol ;

Nous, nation d’herbes sans valeur, 
pieds nus nous arrive la mort !

Venez poète ! Morte est la lune ;



Cordon ombilical ;

Soudain brûle la ville, ta plume

Fume sans une allumette !


O femme sous les nuages,

Lamentables petits sureaux –
Regardez sur la route, en silence

La migration des peupliers!

image de Anna de Pixabay

Traduction Jacky Lavauzelle
Artgitato

Attila Jozsef
1905-1937

Attila József, ou József Attila dans l’ordre usuel en hongrois, né en 1905, mort en 1937, est un poète hongrois.

Fils d’Áron József, ouvrier dans l’industrie savonnière, et d’une paysanne Borbála Pőcze, il est né à Ferencváros, un quartier pauvre de Budapest. Il avait deux grandes soeurs: Eta et Jolán. Il n’avait que 3 ans quand son père abandonna sa famille. Ils vécurent dans l’extrême pauvreté: sa mère pouvait à peine s’occuper de ses trois enfants et payer la location du petit appartement où ils vivaient. Elle confia Etelka et Attila à des parents adoptifs du village d’Öcsöd, où ce dernier travailla dans une ferme. Là-bas, son père adoptif ne respectait pas même son prénom et l’appelait ‘Pista’. Les conditions de vie y étaient si médiocres qu’il s’enfuit pour retrouver sa mère à Budapest.

Sa mère mourut en 1919, à l’âge de 43 ans. Après cela son beau-frère Ödön Makai, avocat et époux de sa soeur, le prit en charge et lui offrit des études dans un bon lycée. Plus tard il fut reçu à la Faculté des Lettres de l’Université de Szeged – son rêve était de devenir enseignant – mais il s’en détourne à cause d’un conflit avec un professeur scandalisé par la provocation de l’un de ses poèmes.

A partir de ce moment, il essaya de se prendre en charge lui-même grâce au peu d’argent qu’il gagnait en publiant ses poèmes. Il commença à montrer des signes de schizophrénie, et il fut traité par des psychiatres. Il ne se maria jamais et mais il tombait fréquemment amoureux de ses compagnes.

Il mourut le 3 décembre 1937 à l’âge de 32 ans, à Balatonszárszó, en se jetant sous un train. Un mémorial est érigé non loin de l’endroit où il eut son dernier souffle. La thèse généralement acceptée est celle du suicide, mais certains experts prétendent que sa mort fut accidentelle. ( source Babelio)

Dimanche gourmand 2023

Recette extraite de ce livre, qui n’est peut-être plus édité . Vous pouvez le trouver dans des bouquineries.

Ingrédients : 2 œufs, 50 g de sucre, 50 g de farine, confiture.

Mélanger les jaunes d’œufs et le sucre,  battre jusqu’à ce que le mélange blanchisse.

Ajouter la farine.

Battre les blancs en neige, les ajouter à la préparation et mélanger délicatement.

Verser une cuillère à soupe de pâte dans des moules à petits biscuits.

Faire cuire  à four préchauffé à 180°,  ne pas éteindre le four et sortir les gâteaux après 10 minutes de cuisson. Il faut ensuite les creuser avec vos mains (ils sont mous) , mettre un peu de confiture dans chaque, puis remettre au four 4 à 5 minutes. 

J’ai utilisé des moules à madeleines, j aurai dû mettre plus de pâte. Le reste de la pâte a été mis dans des moules à muffins.

Cette recette fut proposée par Isabelle le 5 mars 2023.

Allons voir chez Isabelle ce que les Marmitonnes ont préparé : Bon dimanche à tous !

L’hostellerie des vieux plats de Cécile Delile

Que sont devenus les trésors des Vieux Plats ? Comment ce célèbre temple de l’art et de la gourmandise, si cher à Monet, Leblanc, Maupassant et tant d’autres a-t-il pu disparaître ?
Cette enquête entre Fécamp et Le Havre ramène Lucas, un jeune journaliste, sur les traces de son passé. En allant à Gonneville-La-Mallet couvrir l’événement de la vente aux enchères de cette hostellerie qui, depuis cent cinquante ans, a fait la fierté de ses habitants, le portrait de Lucette Aubourg l’interpelle. Aussitôt, il se sent happer par la magie de cette vieille auberge et part à la recherche d’un monde enseveli au pays des Hautes Falaises.
L’histoire est inspirée d’un fait réel, l’Auberge a toujours existé et la vente aux enchères des  » vieux plats  » a eu lieu.

Mon avis

« La pluie en signe de bienvenue s’ était arrêtée. Il essuya d’une main la buée du pare-brise et stoppa devant le panneau indicateur de Gonneville -la -Mallet, coincé entre un géranium et la fameuse devise de la ville  » on ne fait pas qu y passer « 

J’ai lu ce livre il y a quelques mois. Je dois dire que la quatrième de couverture m’avait attirée.

Au début , j ‘étais intéressée par l histoire de cette  » Hostellerie », puis les références se sont accumulées et de nombreuses répétitions. J’ai eu l’impression que l’auteur se « déversait » de tout son savoir sur les personnages historiques qui sont venus dans le lieu.

Je ne conteste pas l’écriture. Le texte aurait été plus court, il aurait été plus « digeste ».

J’ai appris l’histoire de cette hostellerie, que je connaissais pas.

Ce livre se trouve dans une sélection en vue d’un Prix Littéraire.

L’hostellerie des vieux plats – Cécile Delile – Editions des Falaises – février 2023 – 208 pages – ISBN :  9782848115689

A propos de ce lieu :

L’Hostellerie des Vieux Plats

L’incontournable auberge fondée en 1766

L’incontournable auberge fondée en 1766 fut rachetée par Edmond Aubourg (artiste, collectionneur) à sa tante Mme Dubosc en 1865. Celui-ci la débaptisa alors Hôtel de France pour devenir L’Hostellerie des Vieux Plats à cause ou grâce à sa passion pour les faïences…

L’Hostellerie des Vieux Plats tout comme L’Hôtel de la Belle Ernestine fondé en 1870 par la soeur d’Edmond Aubourg à Saint-Jouin-de-Bruneval devait ainsi connaître un destin sans pareil et une réputation mondiale !

Lieu de passage très prisé, l’Hostellerie des vieux plats, à l’origine relais de diligences, est empreint des traces de nombreuses personnes illustres

  • Des écrivains (G. De Maupassant, A. Gide, M. Leblanc, V.Hugo, J.P. Sartre, A. Camus…)
  • Des musiciens (R. Wagner, G. Fauré, C. Gounod…)
  • Des peintres (C. Monet…)
  • Des rois et reines (Le roi des Belges, La reine d’Espagne…)
  • Des politiques (F. Faure, R. Coty, Churchill…)

L’Hôtel se transmit alors de génération en génération. En effet, au décès d’Edmond Aubourg, en 1893, c’est son fils Paul qui lui succéda (1866-1922) puis au décès de ce dernier ce fut son épouse, Lucie, qui continua à faire vivre l’Hôtel avec ses enfants Paulette, Lucette et Paul.

Jusqu’en 2012, c’est à Lucette, alors âgée de 98 ans, toujours très alerte, que revint la tâche de faire perdurer cette noble institution, avec notamment son fameux Poulet Aubourg, création de sa grand-mère, Céline médaillée « Cordon Bleu de France » !

Actuellement, ce lieu a été vendu après le décès de sa propriétaire, et transformé en appartements.

Le Printemps des Artistes 2023

J’ai participé lors des années précédentes .Je continue mais je dois dire que cette année, ma participation sera plus modeste. Je dois m’adapter.

Je vais chercher dans ma PAL des livres d’artistes. J’ai surtout des livres de peintres.

Tous ces challenges me motivent pour continuer de lire et de participer. . Depuis Novembre 2022, après une opération, je subis un traitement lourd avec des hauts et des bas. La fin est programmée pour fin mai.

Je programme mes billets à l avance pour continuer ce blog.

En hommage à Goran , Marie – Anne du blog «  La Bouche à Oreilles  » met à l’honneur son joli logo créé spécialement pour le Printemps des Artistes.

Et vous ? Participerez-vous à ce Printemps des Artistes , qui débute le 1 avril 2023 et se termine le 1 juin 2023.

« 

« Pour rappel, il s’agit de lire un ou plusieurs livres (roman, nouvelle, essai, poésie, théâtre, correspondance, etc.) ou de voir un film dont le héros ou l’héroïne est un artiste (poète, écrivain, peintre, sculpteur, danseur, architecte, musicien, chanteur, comédien, cinéaste, etc.), que cet artiste ait réellement existé ou qu’il soit purement fictif.
Vous pouvez aussi lire un livre ou voir un film dont l’un des thèmes est en relation avec l’un des arts cités plus haut.  » La suite des informations sur le blog de Marie-Anne – La Bouche à Oreilles

Un Anglais dans mon arbre de Olivia Burton

Trouver un Anglais dans son arbre généalogique, ce n’est pas follement original. Sauf s’il s’appelle Sir Richard Francis Burton, aventurier, explorateur impétueux du Continent noir, traducteur du Kamasutra, découvreur des sources du Nil. L’intrépide Olivia se lance sur la piste de cet aïeul extravagant. À nous deux, l’Afrique !
Découvertes, déconvenues, émerveillements, tribulations jusqu’au vrai lieu de naissance du grand fleuve appelé « Père des eaux ». Preuve que « ce qui compte ce n’est pas le but, c’est le chemin ».

Olivia Burton découvre à la mort de son père , qu’un de ses ancêtres était un explorateur connu, Sir Richard Francis Burton était un personnage hors du commun, Un homme de sciences, curieux de tout, ouvert sur les cultures indigènes, féru d’anthropologie et de botanique, qui a laissé des observations qui font toujours autorité dans quantité de domaines. Un extraordinaire polyglotte , qui maîtrisait, dit-on, une quarantaine de langues et de dialectes ! Il fut aussi le premier à traduire le Kama Soutra en anglais . C’était aussi un homme d’action, un explorateur expert en déguisement, qui fut sans doute le premier Occidental à pénétrer dans La Mecque.

Olivia se lance donc sur les traces de cet ancêtre, de Londres au continent africain. Olivia va donc démêler le vrai du faux, ce n’est pas simple la généalogie. Parfois ce ne sont que des petits détails qui nous entraînent vers la vérité.

J’ai toujours pensé qu’un homme prouve sa valeur en faisant ce qu’il aime. Il n’y a pas de mérite à cela quand vous avez de la fortune et l’indépendance qui en découle. Dans le cas contraire, c’est un grand succès que de choisir sa voie et de s’y tenir. Je partais donc avec un nouveau rêve, celui d’une aventure arabe (p73).

Elle se lance alors sur les Source du Nil , que son ancêtre aurait découvertes, mais est-ce exact ?

Ce roman graphique est un beau voyage à travers le temps par le biais de cet explorateur anglais : Richard Francis Burton. J’ai vraiment apprécié tourné les pages et mener cette enquête généalogique avec l’autrice. La généalogie est un un véritable passe-temps…je le sais bien !

A noter, l’utilisation de la couleur est réservée à l’évocation du passé, tandis que le noir et blanc, et le sépia, sont choisis pour représenter l’époque actuelle.

L’histoire est touchante et drôle.

Un Anglais dans mon arbre – Olivia Burton – Mahi Grand – Éditions Denoël – Parution 07/03/2019 – EAN : 9782207139448

Du dé d’argent à l’alambic de Irène Gaultier-Leblond

Après une jeunesse chaotique au Havre, Julien Cotendon est engagé pour trois ans par son père, en Indochine. Fasciné par ce pays nouveau, il va découvrir à la fois la vie militaire la passion amoureuse et les turpitudes de la jalousie.
Sur fond de guerre, Irène Gaultier-Leblond nous plonge dans une histoire d’amour aux nombreux rebondissements passionnés et dramatiques, dans un environnement captivant.
L’action se situe entre les années 1951 et 1953, pour moitié en Indochine et pour moitié en Normandie

Ce roman, Irène Gaultier- Leblond l’a crée à partir d’anecdotes et de souvenir d’un voyage au Vietnam.

L’action du roman Du dé d’argent à l’alambic se situe entre les années 1951 et 1953, à la fois en Indochine et en Normandie et raconte, sur fond de guerre, une histoire d’amour aux nombreux rebondissements.

Julien est normand, du Havre , un peu turbulent, adulé par sa mère jusqu’à l’arrivée d’une petite sœur . Son père , pour le soustraire à des délits plus importants, le fait engager pour un départ en Indochine pour une durée de trois ans. La traversée est difficile, il n’arrive pas directement à son unité, il doit marcher avec son barda sur le dos, jusqu’à son poste d aide-infirmier.

L’Indochine! Un départ de vie? Il attend tout de ce pays sans savoir quoi, comme s’il s’en remettait à ce territoire inconnu de décider pour lui. Et le bouleversement est au rendez-vous, comme une reconnaissance. Ces vingt-deux jours de mer ont préparé la métamorphose.

Là il découvre une autre vie. Il se lie avec la femme du capitaine jusqu’au jour où il est obligé de fuir Julien aime la compagne du capitaine, mais lui est aimé par sa servante, Nhung. Elle fait tout pour le conquérir, jusqu’à le soustraire à la vue de sa maitresse, et à le capturer, il est à elle maintenant. Julien est à l’abri, dans un caisson, sous le lit, mais le bois se disloque et ouvre sa blessure à la hanche.

Julien sait que Nhüng a un frère engagé, il ne souhaite pas tomber entre ses mains.La vie de Julien est entre les mains de Nhung. Elle l’emmènera dans la brousse. Il sera aux bons soins de sa grand-mère, où il apprendra avec elle toutes les ressources que nous offrent les plantes.

Julien se repentira et regagnera la France . De nombreuses perspectives s’offrent à lui, réussira-t-il tous ses projets ?

Et là l’auteur nous envoûte par les descriptions de la vie dans la brousse, les odeurs, les pratiques ancestrales qui se perpétuent tout au long des générations.

L’auteur évoque la vie des petites gens , leurs relations avec les soldats, la colonisation dans le pays.

J’ai aimé les parfums , l’ambiance qui se dégageaient de cette lecture. L’écriture est agréable.

Du dé d’argent à l’alambic de Irène Gautier-Leblond – S-Active – juillet 2022 – 212 pages – ISBN : 9791096709397

A propos de l’auteur :

L’écriture a toujours été la passion d’Irène Gaultier qui réside, depuis 1957, dans sa maison du quartier Sainte-Thérèse, à Caen. Chaque jour, elle s’installe devant son écran d’ordinateur pour écrire. Après la mort de mon mari en 1974, je me suis mise vraiment à l’écriture, j’étais toute seule. J’écris toujours, c’est ma respiration. J’ai donc encore plein de choses que je pourrais publier mais je ne promets rien !​ raconte l’écrivaine qui a publié, durant une cinquantaine d’années, de nombreux livres pour enfants et des recueils de poésie.

À 98 ans, après avoir consacré ses nombreuses années de retraite à l’écriture et au sport, l’ancienne représentante de commerce est fière d’avoir réussi à publier, en juillet, son premier roman. La publication de ce livre est très importante pour moi. Cela mûrissait depuis plus de vingt ans, après un voyage au Vietnam qui m’a fascinée. Pendant le confinement, j’ai vécu des moments très difficiles avec le décès de Gérard, l’un de mes fils. Il fallait que je lutte, j’ai alors plongé dans l’écriture de cette histoire. ( Ouest-France )

Dimanche Gourmand 2023

Pour ce dimanche, j’ai envie de vous présenter une recette de cookies, anglais ou non !

Pour cette recette, de cookies aux noisettes il vous faut ;

80 g de farine

50rg de beurre

50 g de sucre

1 pincée de sel

1 c.à café de levure ou bicarbonate

1 œuf

Noisettes

Préparation

Préchauffer votre four Th 6 (200°C ) .

Mélanger le beurre ramolli, puis le sucre, et le sel. Batter la préparation pour obtenir une pâte crémeuse.

Incorporer l’œuf

Dans un saladier, mélanger la farine, et la levure, puis ajouter peu à peu ce mélange au précédent. Ajouter des noisettes concassées .

Etaler une feuille de papier sulfurisé pu une feuille de silicone.

Faire des tas sur le papier en les espaçant bien.

Cuisson 10 minutes

Sorter les et laisser les refroidir avant dégustation !

Avec ces proportions, j’ai eu 14 cookies

Allons voir chez Isabelle ce que les Marmitonnes ont préparé :