J’allais par des chemins perfides,
Douloureusement incertain.
Vos chères mains furent mes guides.
Si pâle à l’horizon lointain
Luisait un faible espoir d’aurore ;
Votre regard fut le matin.
Nul bruit, sinon son pas sonore,
N’encourageait le voyageur.
Votre voix me dit : » Marche encore ! «
Nous a réunis dans la joie.
Mon cœur craintif, mon sombre cœur
Pleurait, seul, sur la triste voie ;
L’amour, délicieux vainqueur,
Paul Verlaine – 1844-1896
Verlaine, toujours aussi beau….
Merci pour ce joli poème Claude.
Belle journée.
Cat
J’aimeJ’aime
Merci à toi de ton passage, et belle fin de semaine Catherine !
J’aimeJ’aime
Merci Claude 🙏📗
J’aimeJ’aime
Merci Eveline !
Dès la semaine prochaine je reprendrai la tournée des blogs…
Belle fin de semaine !
J’aimeAimé par 1 personne