Dans les nuits d’automne, errant par la ville,
Je regarde au ciel avec mon désir,
Car si, dans le temps qu’une étoile file,
On forme un souhait, il doit s’accomplir
.Enfant, mes souhaits sont toujours les mêmes
Quand un astre tombe, alors, plein d’émoi,
Je fais de grands vœux afin que tu m’aimes
Et qu’en ton exil tu penses à moi.
A cette chimère, hélas ! je veux croire,
N’ayant que cela pour me consoler.
Mais voici l’hiver, la nuit devient noire,
Et je ne vois plus d’étoiles filer.
François COPPÉE (1842-1908)

Très touchant – c’est beau de pouvoir lire de la poésie – merci 🙂
J’aimeJ’aime
Merci de votre passage. Je prends du plaisir à chercher de la poésie et surtout de la partager. 😉
J’aimeJ’aime
Je te souhaite une belle semaine en lecture Claude, merci pour ce joli partage 🙂🌞
J’aimeJ’aime
Merci Fréderic, à toi aussi ☺
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Claude 🙏pour ce si beau poème ⭐🌟⭐🌟⭐
Bonne semaine !
J’aimeJ’aime