L’été dernier,
Les hirondelles cisaillaient
Les bourdonnements des chaleurs ondulantes
Et mystérieuses des murs.
Cet hiver,
Les tourterelles enroulaient
Le silence des ardeurs odorantes
Et secrètes des cheminées.
Hier,
Les merles saluaient
La sagesse de la lumière flottante
Et maquillée des ombres.
Ce soir,
Les chouettes figent
La peur sur les heures ignorantes
Et aveugles des différences.